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Gravity

 

 

Gravity, ou l’Art d’être dans la merde dans l’espace !

 

Mis à part « Alien », le seul vrai danger dans l’espace ce n’est pas le manque d’oxygène, même si... mais les risques de croiser en chemin une horde de débris qui vous arrivent dessus à plus de 30 000 km/h.

 

Une équipe d’astronautes fait des travaux quand une pluie de débris de satellites s’abat sur eux mettant la station spatiale à néant. Seuls deux astronautes survivent à la catastrophe mais se retrouvent propulsés dans l’espace.

 

Huit-clos spatial hyper intense, pour moi « Gravity » mérite les éloges qui lui ont été faits et les Oscars qui l’ont récompensé. Tournés dans les conditions respectées de l’espace, c’est-à-dire sans aucun son dans les scènes dépourvues d’oxygène, Sandra BULLOCK et Georges CLOONEY affrontent la mort à chaque minute et ne peuvent rien faire d’autre que de subir leur situation tout en essayant de survivre en tentant d’accéder à d’autres stations étrangères en orbite au-dessus de la terre.

 

Si vous voulez plus d’effets, choisissez la 3D pour ceux qui aiment et mettez des boules Quiès car la musique est tellement puissante et angoissante qu’elle ajoute un stress encore plus infernal à la situation, et les images de destruction au milieu d’un espace froid dans lequel les héros semblent réellement vivre l’horreur nous laissent bouche bée, avec en plus un léger mal de cœur tellement ça tourne.

 

Un film que l'on ne peut voir qu'en salle pour pouvoir s'oxygéner dans une "atmosphère" asphyxiante.

 

Qu’est-ce qu’on est bien sur la Terre malgré tout.

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